Résumé :
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"Il semblait admis que chez les adolescents, la fréquence de co-occurence de problèmes de drogues et de jeu pathologique soit semblable à celle des adultes soit 29%. Une première étude conduite entre 1996 et 1998 a réévalué cette prévalence en utilisant le test ""Massachussetts Gambling Screen"", il en résulta que sur 97 adolescentsusagers de drogues, 34% n'avaient jamais joué, 57% étaient des joueurs non pathologiques, 8% qualifiés de joueurs transitoires et seulement 1% veritablement joueurs pathologiques. Entre 2002 et 2003 une autre étude s'est intéressée à des adolescents ayant des problèmes d'alcool avec ou sans autres problèmes de consommation d'autres substances, un autre test a été choisi : le GAMTOMS : là encore 1% de vrais joueurs pathologiques a été trouvé. Le problème pour le futur est d'éviter le passage des non joueurs pathologiques aux joueurs pathologiques dans l'âge adulte"
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