Résumé :
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La consommation de substances, qu'elles soient licites ou illicites, est un problème majeur de santé publique. Les chiffres de prévalence de la consommation d'alcool et de substances psychoactives durant la grossesse sont mal connus en France et probablement sous-évalués aussi bien en France que dans le reste du monde car les études sont souvent déclaratives. Les conséquences potentielles de cette consommation sont obstétricales, néonatales, et surtout à plus long terme chez l'enfant, mais les résultats divergent entre les différentes études (biais méthodologiques importants dont notamment le rôle potentiel des facteurs environnementaux et génétiques). Devant les conséquences potentielles d'une exposition in utero de l'enfant à une ou plusieurs substances psychoactives, les campagnes d'information et de prévention restent fortement recommandées.
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