| Titre : | Retranscrire un récit de vie... |
| Auteurs : | Philippe MERLIER |
| Dans : | SANTE MENTALE ((289), 2024) |
| Pagination : | 14-19 |
| Langues: | Français |
| Mots-clés : |
Noms propres RICOEUR PaulSANTEPSY ALTERITE ; ATTITUDE DU PROFESSIONNEL ; COMMUNICATION ECRITE ; DEMANDEUR D'ASILE ; DEONTOLOGIE ; ETHIQUE PROFESSIONNELLE ; ETHNOLOGIE ; EXILE ; IDENTITE ; INTERPRETATION ; PREJUGE ; RECIT DE VIE ; RELATION INTERCULTURELLE ; SUBJECTIVATION |
| Notes de contenus : | Retranscrire le récit de vie d’une personne en demande d’asile est une lourde responsabilité : le statut de réfugié, ses conditions d'existence et sa vie même en dépendent. Cet acte d’écriture suppose des choix parmi les trajectoires de l’exil qu’il convient de retracer, et de multiples microdécisions qui, en plus de leur portée stratégique pour convaincre les autorités institutionnelles, présentent une dimension éthique fondamentale. Le propos s’efforce ici d’approcher le problème de l’écriture du récit oral de la vie d’autrui, sous l'angle éthique. Il s'agit d'identifier les principaux préjugés qui empêchent l'accès à toute pensée de l'altérité, et de proposer des règles élémentaires de l'attitude d'ouverture interculturelle nécessaires à la rédaction. Ces règles générales sont déclinées à partir d'un cas particulier. [résumé d'auteur] |
| En ligne : | https://go.openathens.net/redirector/ghu-paris.fr?url=https://extranet.santementale.fr/ddl/pdf/f1b4ed0728e2ff3802be93cee8419a50/ |
Exemplaires (1)
| Localisation | Cote | Emplacement | Support | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| Bibliothèque Henri Ey | s.c. | Périodique | Indéterminé | Exclu du prêt |
