Titre : | Dits et non-dits dans l'histoire psychiatrique |
contenu dans : | |
Auteurs : | Philippe Pignarre |
Dans : | JOURNAL FRANCAIS DE PSYCHIATRIE ((30), 2007) |
Pagination : | 35-38 |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
SANTEPSY HISTOIRE DE LA PSYCHIATRIE ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOTHERAPIE ; PSYCHOTROPE ; THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE |
Résumé : | Quelque peu critique pour le moins avec Lacan, l'auteur prend ses références chez Stengers, Badiou, Latour et Deleuze. C'est en connaisseur 'de l'intérieur', puisqu'ayant appartenu à de grands groupes de l'industrie pharmaceutique, qu'il évoque les retombées de la découverte de la chlorpromazine en 1952. Notamment il analyse la manière dont cet évènement va produire une cascade de conséquences dont nous profitons et pâtissons aujourd'hui. Selon une machinerie, dont il aime à faire la différence avec la mécanique... La production industrielle est au départ de ce fait bâtie sur le mode de la recherche de l' 'à peu près' identique molécule, sans pour autant être connecté à la clinique si ce n'est pas les applications qui en seront imposées. Il évoque également la question du modèle animal d'une façon originale. C'est en essayant d'installer comme pensée dans ce champ un point de vue autre que celui hégélien selon lui de Lacan entre autres, que P. Pignarre va s'inscrire dans un courant affilié à Deleuze et Foucault. [résumé d'auteur] |
Notes de contenus : | 18 notes bibliogr. |
En ligne : | https://go.openathens.net/redirector/ghu-paris.fr?url=http://www.cairn.info/revue-journal-francais-de-psychiatrie-2007-3-page-35.htm |