Titre : | La maladie de Parkinson évoluée |
Auteurs : | Marc Ziégler |
Dans : | GERIATRIE ET PSYCHOLOGIE & NEUROPSYCHIATRIE DU VIEILLISSEMENT (4(SP 1), 2006) |
Pagination : | 5-10 |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
SANTEPSY CHUTE ; DEMENCE ; EVOLUTION ; HANDICAP ; MALADIE DE PARKINSON ; TROUBLE PSYCHOSOMATIQUE |
Résumé : | Le stade de maladie de Parkinson évoluée est atteint en moyenne après 10 ans d'évolution mais parfois après 30 ans. À ce stade, le handicap est important. Sur le plan moteur, les signes axiaux sont prédominants : troubles de la marche, troubles de la posture avec inclinaison du rachis, chutes, troubles de la parole et plus tardivement troubles de la déglutition. Des fluctuations d'efficacité de la L-Dopa et des dyskinésies parfois très invalidantes peuvent être observées chez certains patients, posant de difficiles problèmes thérapeutiques. Elles peuvent nécessiter l'emploi de pompe à apomorphine ou de perfusion intra-duodénale de L-Dopa. Les troubles cognitifs sont inconstants, ils peuvent être absents lorsque la maladie a débuté tôt. Lorsqu'ils existent, ils se manifestent par des hallucinations, des périodes de confusion, des idées délirantes ou un état démentiel. À ce stade de l'évolution, les troubles dysautonomiques sont habituels : hypersalivation, troubles digestifs, urinaires, amaigrissement. Le traitement de la maladie de Parkinson évoluée oblige parfois à l'utilisation de contradictions pharmacologiques, par exemple : pompe à apomorphine et clozapine [résumé d'auteur] |
Notes de contenus : | 12 ref. biblio |
En ligne : | https://go.openathens.net/redirector/ghu-paris.fr?url=http://www.jle.com/fr/revues/medecine/pnv/e-docs/00/04/26/58/article.phtml |