Titre : | Accompagner nos semblables jusqu'au terme de leur existence |
contenu dans : | |
Auteurs : | Fabrice Gzil |
Dans : | JALMALV ((117), 2014) |
Pagination : | 23-34 |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
SANTEPSY ACCOMPAGNEMENT DU MOURANT ; COMMUNICATION ; DEMENCE ; DEMENCE SENILE ; ECOUTE ; ETHIQUE ; HUMANISATION DES SOINS ; HUMANISME ; IDENTITE ; MALADIE D'ALZHEIMER ; PAROLE ; PATIENT ; RELATION SOIGNANT SOIGNE ; RESPECT ; SOINS PALLIATIFS ; SUJET |
Résumé : | Accompagner une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer jusqu'au terme de son existence oblige à une grande vigilance éthique. Cela suppose de ne pas disqualifier par principe la parole de la personne. Cela implique aussi de reconnaître qu'aucune maladie n'a le pouvoir de faire perdre à une personne son identité et son humanité. C'est précisément parce que cette maladie fragilise la conscience de soi, l'aptitude à prendre soin de soi-même et la faculté d'entrer en relation avec les autres, que les personnes qui en sont affectées ont tant besoin de sentir que nous ne les abandonnerons pas. [résumé d'éditeur] |
Notes de contenus : |
Note 11 réf. bibliogr. |