Résumé :
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La prison existe, et probablement encore pour longtemps. Créée pour punir, elle est également censée être un lieu de réhabilitation de soi et de prévention des récidives. C'est ce versant 'éducatif' qui la rend supportable pour notre humanité. Mais on sait ce qu'il en est en réalité : peu de travail socio-éducatif, des soins médicaux largement perfectibles, des conditions de détention indignes... Alors, comment ceux qui y travaillent supportent-ils d'y intervenir ? Y a-t-il un travail possible en prison, qui respecte la dignité des personnes privées de liberté ? Quelles ouvertures y sont possibles, portées par les intervenants du quotidien et par des intervenants associatifs extérieurs à l'institution ? [résumé d'auteur]
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